dimanche 12 juin 2022

Achats en ligne, trop facile ? (billet #15, sujet au choix)


Je me souviens comme si c'était hier de la première carte de crédit que j'ai reçu et de la première fois que j'ai entré les 16 numéros pour faire un achat en ligne. J'avais tout juste 18 ans. J'étais euphorique. Quand j'avais 18 ans, ce n'était pas encore tout à fait le Web que nous connaissons aujourd'hui, en 2022. 

En cherchant des idées pour ce dernier billet au choix dans le cadre du cours INF6107 : Web social, j'achetais en même temps des stylos sur Amazon.  J'ai eu un flash : à quel point les achats sont trop faciles quand je peux acheter des stylos tout en réfléchissant à un travail ? On le sait tous, en 2022, l'information est partout et accessible instantanément, mais comment cela affecte-t-il nos comportements sur le Web ? Personnellement, pour les achats en ligne, je me sens toujours à un clic de la ruine. 

Sur le site Web de L'Actualité, j'ai trouvé un article fort intéressant sur les bonnes pratiques à adopter concernant les achats en ligne. 

Source : https://lactualite.com/lactualite-affaires/decryptage-reussir-ses-achats-en-ligne/

  • Inscription à l'infolettre en échange d'un rabais.
  • Comparaison entre plusieurs boutiques grâce à des sites spécialisés.
  • Utiliser la politique du plus bas prix garanti. 
  • Vérifier la politique de retour avant d'acheter. 
  • Faire expédier votre colis au bureau ou au bureau de poste pour éviter les frais. 
  • Ne pas payer pour une livraison accélérée.
  • Etc. 


Et sinon, un autre truc qui peut s'avérer bien pratique est de se demande "En as-tu vraiment besoin ?" !

Ode à Pretnumerique.ca (billet #14, sujet au choix)

 

Source : https://www.pretnumerique.ca/

Dans le cadre de la 6e École d'été internationale francophone en sciences de l'information et des bibliothèques qui a eu lieu du 30 mai 2022 au 10 juin 2022 à l'EBSI, j'ai pu assisté à plusieurs conférences articulées autour du livre numérique. Parmi ces conférences, Jean-François Cusson de Bibliopresto (entre autres) est venu nous présenter les divers outils de lecture de livres numériques (tablettes, liseuses, mobiles, ordinateurs), mais aussi plus précisément la plateforme Pretnumerique.ca

Pour résumer, Pretnumerique est une plateforme gratuite de prêts de livres numériques affiliée à plusieurs bibliothèques du Québec. Présentement, elle se retrouve dans 129 bibliothèques autonomes, 11 réseaux BIBLIO régionaux, BAnQ, réseau des bibliothèques publiques du Nouveau-Brunswick, 28 bibliothèques collégiales et 6 universités. (Jean-François Cusson, 2022) Les usagers des bibliothèques n'ont qu'à s'abonner à leur bibliothèque pour bénéficier du prêt de livres numériques.

La plateforme Pretnumerique vient vraiment changer la donne au Québec avec sa création en 2012 puisqu'il n'y avait pas d'offre québécoise dans le marché du prêt de livres numériques. Avec Pretnumerique, c'est plus de 63% du contenu qui est québécois. (Jean-François Cusson, 2022)

Cette organisation a pu déceler un réel besoin dans les milieux documentaires du Québec et offrir aux abonnés du contenu d'ici. Je pense que Pretnumerique a contribué à faire rayonner notre marché littéraire particulier. 

Pour profiter de Pretnumerique.ca, suffit de s'informer auprès de sa bibliothèque ! 

samedi 11 juin 2022

La randonnée et la communauté web 3/3 (billet #13, sujet au choix)

 

Quand on tente de changer nos habitudes, on ne sait généralement pas par où commencer pour la nourriture oui, mais aussi par rapport à l'activité sportive. Comment s'entraîner ? Quoi faire ? Où s'équiper ? Quand on choisit finalement un sport à pratiquer, d'autres questions surviennent. Pour ma part, j'ai eu un coup de cœur pour la randonnée. Au début, de simples randonnées sur un terrain plat et éventuellement, j'ai évolué vers le hiking en montagne. 

Comme je n'étais qu'une débutante et que je voyais que mon intérêt grandissait pour ce sport, j'ai voulu trouver d'autres adeptes tels que moi, mais également trouver de nouveaux endroits à découvrir. C'est à ce moment que j'ai découvert l'application AllTrails

Cette plateforme personnifie parfaitement l'idée du Web social : le fonctionnement principal repose sur la participation de la communauté. Les abonnées partagent des itinéraires et des photos sur la plateforme afin d'en faire profiter les autres. 

Source : https://www.alltrails.com/fr/explore

Je nomme AllTrails, mais il y a tellement de plateformes de ce genre sur le Web où la communauté se rassemble pour partager. 


Quelques pistes intéressantes à explorer 

Passion Cook it 2/3 (billet #12, sujet au choix)

Dans la même lignée que mon billet précédent sur la gestion du poids et le Web social, j'avais envie de partager un autre moyen que j'ai utilisé dans ma quête des saines habitudes de vie : le service québécois des boîtes repas Cook it. D'ailleurs, cette plateforme web a été l'objet d'un autre travail dans le cadre du cours INF6107 : Web social

Ce qui est particulièrement intéressant de Cook it est que la compagnie est très présente sur le web participatif : Facebook, Instagram, Linkedin, Pinterest, TikTok. Ils tentent le tout pour le tout pour rejoindre un plus grand nombre de gens et leur partager leur philosophie. D'ailleurs, on peut lire ceci sur le site Web : 

Pionniers de la boîte repas au Québec, on s'est donné comme mission d’être la meilleure façon de manger. Que ce soit en vous redonnant envie de cuisiner vos plats préférés, en vous permettant d'avoir un peu de temps de lousse en soirée ou tout simplement en éliminant la charge mentale associée à la planification de repas, on a créé un service pour que vos repas soient ce qu’ils devraient toujours être : des moments de plaisir et sans culpabilité. (Cook it)

Être la meilleure façon de manger. Donner envie de cuisiner. Éliminer la charge mentale. Plaisir et sans culpabilité. Voilà une philosophie qui m'a séduite lorsque j'ai repris ma santé en main. Mon abonnement à Weight Watcher et aux boîtes repas de Cook it, combinés à la communauté participative des deux plateformes, à certainement participer à l'atteinte de mes objectifs.

La gestion du poids avec le Web social 1/3 (billet #11, sujet au choix)

Les 3 prochains billets seront à propos de la façon dont le Web social à participer positivement à l'adoption de nouvelles habitudes. 

Source : https://www.medisite.fr/service-minceur-maigrir-6-applis-gratuites-pour-compter-les-calories.5620421.1812.html

Pour certaines personnes, la gestion du poids est un combat de toute une vie. Lors de mes lectures pour le cours INF6107 : Web social, j'ai pu voir toute la complexité derrière le web que l'on dit "social". J'avais dans l'idée que le Web social ne se limitait qu'aux réseaux sociaux, mais je n'avais pas pensé que son application pouvait se rendre jusque dans nos habitudes de vie. 

Pour partager une courte tranche de vie, en septembre 2013, j'ai eu une chirurgie bariatrique. Cette opération consiste à retirer une partie de l'estomac dans le but de perdre du poids et de mieux le gérer par la suite : j'ai perdu 115 livres en 9 mois. Par contre, ce qui arrive dans la majorité des cas m'arriva également, j'ai tout repris en moins de 2 ans. 

En mars 2020, j'ai appris que j'étais enceinte de mon premier enfant. La grossesse et l'anxiété d'une pandémie mondiale n'ont en rien aidés à me faire perdre ce poids qui me pesait depuis toujours. En octobre 2020, j'accouche de cet enfant tant désiré, mais je suis toujours dans la culpabilité et la frustration de ne pas être capable de prendre ma santé en main. 

C'est ici que le Web social à entrer en jeu pour moi. Quelques mois après mon accouchement et des livres en trop (selon ma perception personnelle), je cherche des solutions, mais des solutions plus durables que la chirurgie n'ayant pas fonctionné quelques années auparavant. 

Il en existe bien d'autres, mais ma solution à moi a été l'application Weight Watcher. Tout ce long préambule pour parler du fait que cette application a été une révélation pour moi par rapport à ma santé car elle avait quelque chose que la chirurgie ne m'avait pas donné et c'est le soutien d'une communauté sur le Web. Oui, il faut entrer ce que l'on mange et combien on bouge sur l'application, mais l'attrait principal est la communauté branchée à qui on a accès pour trouver du support, des conseils et des encouragements. Pour moi, le Web social a fait tout une différence dans la gestion de mes habitudes alimentaires. 


À noter que la communauté connectée de Weight Watcher a été, dans mon cas, amalgamée à celle de Beachbody, une application de remise en forme.

Les hackers, bon ou mauvais ? (billet #10, module 7)

Ce billet est une réplique à celui d'un collègue de classe : https://vraioufaux.newstech.ca/2021/08/hacker/

Source : https://www.makeuseof.com/tag/5-of-the-worlds-most-famous-hackers-what-happened-to-them/ 

Dans notre société actuelle (et même depuis longtemps), les hackers ont toujours eu mauvaises réputations. D'ailleurs, dans le module 7 du cours INF6107 : Web social, on peut lire ceci : 

"Le terme hacker a souvent des connotations négatives, en anglais contemporain ou en français. Dans la population en général, il est surtout utilisé pour désigner ceux qui prennent le contrôle de systèmes informatiques pour des buts néfastes, voire criminels." (Module 7, section 7.3.1) 

Et bien, c'est vrai. Dans l'imaginaire collectif, les hackers sont des personnes servant le crime et qui peuvent, à tout moment, prendre le contrôle des technologies. La vraie question à se poser est "c'est la faute à qui ?". La faute à qui si notre opinion des hackers est malmenée ? 

Un article tout récent paru dans Le Devoir concernant les interruptions de services en ligne de BAnQ est une partie de la réponse : "BAnQ sous le coup d'une cyberattaque". L'art d'alimenter encore plus le stéréotype des "bad hackers" dans notre société ! L'article utilise des termes tels que "agression numérique", "intrusion" ou "attaque informatique"... comment ne pas s'inquiéter ? Effectivement, nous avons peut-être affaire ici à une réelle attaque de la part d'hackers, mais pourquoi alimenter le débat dans les médias de masse ? L'approche des différents médias populaires (réseaux sociaux, journaux, télévision) contribue à donner ou non mauvaise presse aux hackers. 

D'ailleurs, on ne peut pas s'empêcher de penser aux films américains où on met en scène un dangereux hacker qui prend le contrôle total des États-Unis via le réseau informatique et qui réduira en cendres le monde tel qu'on le connaît... intense, non ? Et bien, il y a en à la tonne des films comme ceci... juste à penser à la célèbre série de films Die Hard (plus précisément Die Hard : vie libre ou crève).

Bien heureusement, on voit quelques initiatives au Québec visant à redorer le blason des hackers. Pour ne donner qu'un exemple, La Presse a publié un article mentionnant que des pirates informatiques seraient payés pour dénicher des bogues dans le réseau informatique québécois. 

jeudi 9 juin 2022

Le langage commun : même au CPE ? (billet #9, module 7)


Peut-être que je m'éloigne de l'essence du sujet, mais le module 7 du cours INF6107 : Web social aborde la question du langage commun en spécifiant ceci : "La vie en communauté présuppose la communication et chaque groupe a son propre code de communication". (Module 7, section 7.2.2) 

J'ai tout de suite eu une pensée pour ma fille de 18 mois qui fréquente un Centre de la petite enfance (CPE). Je m'explique : un soir, la famille est attablée pour l'heure du souper, tout se passe normalement. Tout d'un coup, ma fille qui avait terminé son assiette, tends la main et pointe ses doigts de l'autre main dans sa paume. D'où ça vient ce signe ? Est-ce qu'elle veut qu'on chante "Tape tape tape, pique pique pique, roule roule roule..." ? Elle a refait ce signe à presque tous les repas pendant plusieurs jours. 

En discutant avec son éducatrice, j'ai compris d'où venait ce signe. 

Au CPE de ma fille, les éducatrices montrent quelques signes aux poupons (qui ne parlent pas encore) afin de mieux communiquer avec eux. Donc, ce signe que je croyais être un mouvement d'une chanson est en fait le signe qui signifie "encore"... elle demandait d'autres nourritures ! 

Donc, le langage commun qui fait partie prenant du concept de "culture" peut se retrouver partout, même où on s'y attend le moins. Ce serait une erreur de relier exclusivement "langage commun" et "web social" ensemble quand on voit bien que ce concept est dans toutes les sphères de notre vie. 

dimanche 5 juin 2022

Projection et représentation (billet #8, module 6)

Ce billet est une réaction plutôt qu'une réplique à celui-ci paru sur le blogue TPL Momshttps://www1.tplmoms.com/15-mamans-inspirantes-a-suivre-sur-instagram/2 

Source : Instagram, lazymoms 

Lorsque la question de la vie sociale en ligne a été abordé dans le module 6 du cours INF6107, j'ai pensé aux "mamans Instagram". Vous savez, ces mères qu'on voit sur Instagram et qui publient des photos trop parfaites de la maternité ? Est-ce vraiment la réalité ? Pas vraiment. 

Ces mères partagent des photos qui nous font dire "Wow, la vie de mère a tellement l'air glamour". Désolée de vous dire que ce n'est pas réellement ce qui se passe. La réalité, sans être trop pessimiste, est que la vie de mère est pleine de nuits blanches, de vêtements tachés de régurgitations, de cheveux emmêlés et de cernes sous les yeux. Sur Instagram, on voit le famous. Le beau. Le parfait. Le meilleur exemple pour moi est le compte Instagram de l'influenceuse et femme d'affaires Elisabeth Rioux

Source : Instagram, elisabethrioux

La photo est tout simplement parfaite. Qu'est-ce que ça renvoie aux gens ordinaires qui suivent ce genre de profil ? Personnellement, ça m'impose une pression sociale que mes photos ou les évènements que j'organise doivent être PAR-FAITS ! D'ailleurs, voici une photo prise lors du premier anniversaire de ma fille : 

Source : Instagram, jessytessier

J'essayais que tout soit beau et "instagramable" comme on dit. Pour se ramener à la matière du cours, j'ai l'impression que sur les réseaux sociaux, il faut projeter une certaine image qui attire et qui fait rêver, qu'il faut montrer la réalité d'une certaine façon sans que ce soit pour autant vrai. Il faut se créer un persona

Les groupes d'entraide, vraiment aidant ? (billet #7, module 6)

Ce billet abordera l'angle des groupes sociaux de manière un peu plus personnelle que les billets précédents et fait en partie suite à celui-ci : https://tplmoms.com/2020/03/03/le-bon-et-le-moins-bon-des-groupes-de-mamans-sur-facebook/ 

À ma première grossesse, en 2020, j'ai été confronté (comme tout le monde) à la pandémie et l'isolement qui venait avec. Je n'avais aucun repère et surtout, presqu'aucune aide extérieure à mon cercle d'amis et ma famille pour me guider dans cette nouvelle aventure qui commençait : avoir un enfant. 

J'avoue, j'ai paniqué. Première grossesse. Une pandémie mondiale. Toutes les ressources prénatales sont fermées (sauf les hôpitaux...). Qu'est-ce que je fais quand j'ai une question, le 811 ? Pas d'une très grande aide lorsqu'on veut juste se faire rassurer et discuter. 

C'est à ce moment qu'une amie me parle des "groupes de mamans" sur Facebook : "INCROYABLE" que j'ai pensé. Sauf que... 

Source : https://fr.freepik.com/vecteurs-premium/groupe-meres-bebes-club-jeunes-meres-mamans-sont-assises-enfants_6267554.htm 

D'un point de vue théorique, effectivement les groupes d'entraide entre mères, c'est une idée géniale. Le hic dans tout ça, c'est le jugement et la pression constante. J'avoue qu'au début, je me sentais moins seule - d'autant plus qu'on était enfermé chez soi, télétravail obligé. Par contre, j'ai rapidement ressenti tellement de pressions car je lisais les publications des autres sur ce qu'elles faisaient ou ne faisaient pas, puis je me disais "oh mon Dieu, je ne fais pas ça moi... est-ce que je suis déjà une mauvaise mère ?". Non. La réponse est non. Peut-être ça peut avoir l'air anodin de dire qu'on ne naît pas parent, on le devient, que c'est normal de se tromper, d'hésiter ou d'avoir peur, mais à une première grossesse et sans contact avec l'extérieur, on ne sait plus quoi ou comment penser. 

À la lecture du module 6 du cours INF6107 sur les groupes sociaux, les groupes de mamans sont la première chose à laquelle j'ai pensé et je me suis demandée : est-ce que les groupes d'entraide sont réellement aidant ? Est-ce qu'ils peuvent parfois être toxique pour l'utilisateur ? Dans mon cas, ce groupe était malsain. Cependant, c'est à prendre avec un grain de sel : ils peuvent parfois être rassurants pour certaines femmes et combler l'isolement, mais il est important de s'y abonner sans trop le prendre au sérieux. 

mercredi 1 juin 2022

Tinder, un réseau social ? (billet #6, module 5)

Quand on parle de réseaux sociaux, on ne pense pas vraiment aux différentes applications de rencontre telles que TinderBadooBumble et compagnie. Effectivement, pendant longtemps, ces applications ne constituaient pas des plateformes de socialisation en bonne et due forme : 

Un service basé sur le web qui permet aux individus de construire un profil public ou semi-public dans un système limité, d'articuler une liste d'utilisateurs auxquels ils sont reliés, de voir et de naviguer à travers leurs propres relations et celles faites par les autres utilisateurs. (Boyd & Wilson, Social Network Sites : Definition, History and Scholarship - module 5 du cours INF6107). 

En fait, on peut dire que les réseaux sociaux s'attardent à la vie professionnelle, sociale et privée tandis que les applications de rencontre ne concernent que la vie privée des utilisateurs. Voilà la grande différence. 

Pourtant, en 2022, on assiste à un vent de changement dans les applications de rencontre. De plus en plus, ces applications veulent se rapprocher du modèle social de Facebook et autres réseaux sociaux. Un article paru sur Le journal du Geek, Tinder veut devenir un réseau social comme un autre avec Explore, parle justement de cette tendance qui fera entrer la vie privée dans la sphère publique. 

D'ailleurs, on voyait déjà une initiative de la part de Facebook de marier dating et vie sociale avec Facebook Rencontres - voici un petit guide pratique d'utilisation partagé par Radio-Canada. Peut-être verrons-nous cette nouvelle tendance dans tous les réseaux sociaux dans quelques années... 

Quel réseau social pour quoi et pour qui ? (billet #5, module 5)

Ce billet est un réplique à cet article : https://www.webmarketing-conseil.fr/choisir-reseaux-social/

Dans le module 5, à la section "5.4.1 Les panoramas", on retrouve un tableau des différents services en ligne regroupés selon leurs fonctions (publié, partagé, discuté, média, commerce, technologie, etc.). 

Source : INF6107 - Web social, module 5

Bien qu'il soit impossible de catégoriser les différents services Web de manière catégorique, il est intéressant d'avoir cette vue d'ensemble des services et de leurs fonctions associées. La consultation de ce tableau m'a amené à réfléchir sur quel réseau social devrait-on choisir pour quelle utilité. Après plusieurs recherches sur le Web et via le groupe du cours du Diigo, j'ai remarqué que c'est un sujet plutôt prisé par d'autres. 

Alors, au lieu de créer un autre billet, je vais plutôt répliquer à l'article mentionné au début de ce billet. Bien évidemment, une multitude de sites et blogues présentaient des sujets similaires, mais j'ai choisi cet article puisqu'il présentait des particularités intéressantes comparées aux autres. 

Source : https://www.webmarketing-conseil.fr/choisir-reseaux-social/

Bon, cet article sur Webmarketing Conseil parle des réseaux sociaux et des entreprises, mais il est important également de se demander quel réseau social choisir pour nous-même. Est-ce que je veux plutôt partager des photos ? Des vidéos ? Parler avec des membres de ma famille ? 

L'article "Quel réseau social choisir pour votre entreprise" propose un guide pratique avec toutes les fonctionnalités, les plus/moins, etc. Oui, bien utile pour son entreprise, mais je considère ceci tout aussi utile pour un particulier qui désire se faire une tête sur les différents réseaux sociaux.


En bref

Voici brièvement quelques réseaux sociaux et leur principale utilité : 

  • Facebook : multiusage, partage de photos/vidéos/publications, discussion instantanée, etc. Facebook est le réseau social le plus populaire. 
  • Instagram : partage de photos et vidéos, plateforme dédiée à l'image. Instagram est le réseau social le plus primé par les influenceurs, notamment pour y faire de la publicité. 
  • Linkedin : réseau social pour les professionnels.
  • Twitter : réseau social centré sur l'information en direct. Twitter jouit d'une certaine notoriété dans le domaine des réseaux sociaux. 
  • YouTube : réseau social de création et partage de contenus. YouTube est la première plateforme de vidéos. 
  • TikTok : publication et partage de courtes vidéos avec une trame sonore, des filtres et effets. 
  • Pinterest : permet de créer des "mood board", partager, enregistrer des idées, etc. On voit même apparaître une expression nouvelle quand on parle de design et décoration : "c'est très Pinterest"

Amis versus fans 

Une notion importante de ces réseaux sociaux est celle d'amis versus fans que l'on aborde dans le module 5 à la section "5.2.2 La typologie des relations et leurs implications". Ce chapitre aborde la question des relations symétriques (personnes qui se connaissent) et asymétriques (relation sans réciprocité, fan ou follower). Il est intéressant de s'attarder aux réseaux sociaux présentés précédemment et de voir quel type de relation est privilégié : 

  • Facebook : symétrique 
  • Instagram : asymétrique
  • Linkedin : asymétrique
  • Twitter : asymétrique
  • YouTube : asymétrique
  • TikTok : asymétrique
  • Pinterest : asymétrique

Bien entendu, tout n'est pas noir ou blanc. Chaque réseau peut contenir des relations symétriques et asymétriques à la fois, mais on remarque que Facebook est plus enclin à contenir des liens amicaux. 

Achats en ligne, trop facile ? (billet #15, sujet au choix)

Je me souviens comme si c'était hier de la première carte de crédit que j'ai reçu et de la première fois que j'ai entré les 16 n...